Bonjour ! Steve Caglio du Garage Caglio à Oyonnax !
Depuis quand le garage Caglio existe ?
Donc le garage a été créé par mon grand-père dans les années 70 à Oyonnax et dans les années 80, en 1987 précisément.
Mon papa a amené son grain de sel en mettant la carrosserie en route avec le complément mécanique de mon grand-père et moi, j’ai repris l’entreprise en 2001 et j’ai apporté ici mon grain de sel en amenant le service de dépannage-remorquage.
Pourquoi faire du dépannage-remorquage ?
Pour le dépannage-remorquage, mon idée était de ne pas attendre que les voitures viennent directement dans nos locaux pour la réparation.
En allant les dépanner, en apportant un service en plus et on peut traiter comme ça le dépannage, la réparation, la mécanique de A à Z.
Combien êtes-vous dans le garage ?
Donc nous avons six salariés dont un apprenti. Et pour moi, l’apprentissage est très important car aujourd’hui, pour trouver des personnes qualifiées, c’est très compliqué.
Et là, nous avons eu la chance de trouver un bon jeune, que nous avons formé pendant deux ans en carrosserie et il fait son année complémentaire en peinture en espérant qu’il puisse bien sûr rester avec nous.
Donc je travaille aussi avec ma femme Marjorie, qui, depuis douze ans, travaille avec nous et c’est elle qui a apporté beaucoup de choses côté administratif, développement et tout ça.
Donc je suis vraiment très content de faire équipe avec elle !
Qu’est ce que vous préférez le plus dans votre métier ?
Ce que je préfère le plus dans mon métier, c’est la peinture. Car moi j’ai peint pendant une vingtaine d’années. Maintenant, les obligations administratives ne me permettent plus d’exercer,
de temps en temps je m’y remets un petit peu.
Je trouve que la peinture, c’est pour moi le résultat final. C’est la brillance, voilà pour moi c’était une passion la peinture.
Quels sont les objectifs à venir ?
L’objectif, c’est de continuer sur notre lancée pour essayer encore de faire monter l’affaire correctement. Et pour cela, nous aurons besoin sûrement d’avoir un recrutement assez conséquent.
Comment voyez-vous l’avenir du métier ?
L’avenir du métier, il va falloir, je pense, continuer à former les salariés, partir sur les nouvelles
technologies. Pour la peinture, il va y avoir des grosses évolutions, notamment avec les vernis UV, apprêts UV et avoir aussi du matériel performant pour optimiser les temps de travail et la productivité.